lundi 27 novembre 2017

Hi Jimmy [to James Dean] !


Voici quelques phrases sélectionnées de James Dean que l'on retrouve dans le livre présenté par Neil Grant James Dean par lui même, Editions Gründ, 1991 (voir couverture ci-dessous) :

"Ma mère est morte lorsque j'avais neuf ans... Qu'est-ce qu'elle voulait que je fasse ? Que je me débrouille tout seul." (1955)

"[le sport] fait battre le coeur de tous les jeunes Américains, [mais] je crois que je consacrerai ma vie à l'art et au théâtre."


"Mon but dans l'existence, ce n'est pas de charmer la société."

"New York est une ville féconde et généreuse, si vous en acceptez la violence et la décadence."

[A propos de New York] "J'y ai découvert un monde radicalement nouveau, une mentalité radicalement nouvelle... Cette ville, c'est l'idéal. Ici, c'est le talent qui compte. Ou vous supportez ou vous fichez le camp. Moi, j'aime."



" C'était un sacré défi, je trouve, que de réussir à faire passer honnêtement la psychologie d'un personnage [dans A l'est d'Eden] qui a les mêmes traits de caractère que les miens."

"James Dean in his own words" - Neil Grant

"Je fais tout pour que les gens me rejettent. Pourquoi ? " Lettre (1954)

"Le succès fait seulement partie du mécanisme lui-même. Tout le reste, je l'ai parce que je suis moi-même et personne ne peut me dire le contraire."

"Je crois que nous avons tous besoin de nous laisser aller. Jouer la comédie, c'est un exutoire pour moi." 

"Je me moque de ce qu'on écrit sur moi. Je ne parlerai qu'à ceux [les journalistes] que j'aime. Les autres peuvent écrire ce qui leur plaît."


"Je crois que dans ce monde, la principale raison de vivre, c'est la découverte."

"Je suis effrayé. Tout ce succès m'effraie. C'est arrivé trop vite." (avril 1955)

"Le problème en ce moment, c'est que je suis lessivé. Tout le monde me déteste et me prend pour un voyou. On dit que j'ai la grosse tête parce que ça marche à Hollywood, mais, honnêtement, je suis le même qu'avant quand je n'avais pas un sou. Je suis fatigué. J'ai enchaîné avec Géant tout de suite après le tournage long et difficile de La fureur de vivre. Je ferais sans doute mieux de m'en aller."

"Je déteste tout ce qui freine le progrès et la croissance."


"Le seul moment où je me sens réellement moi-même, c'est lorsque je suis sur un circuit." (1955)

"Le récit de ma vie me paraît tellement sinistre que je ne peux pas vous en parler sans un fond sonore de circonstance, 'La marche funèbre', par exemple." (1955)

"Même si je vis jusqu'à cent ans, je n'aurai pas assez de temps pour faire tout ce que j'ai envie de faire." (1955)



Trois films extraordinaires :

A l'est d'Eden (East of Eden), 1955
La fureur de vivre (Rebel Without a Cause), 1955
Géant (Giant), 1956

Drawings / Catherine Pulleiro

 

vendredi 17 novembre 2017

Last videos with photos or drawings !

Hommage aux femmes... de la France au Japon !



Hommage à quelques personnalités !



Vidéo "Untitled"


Copyright Catherine Pulleiro